It’s Okay to Not Be Okay, un succès mérité

affiche du drama coréen It's Okay to Not Be Okay

It’s Okay to Not Be Okay ? Vos papiers svp 🥸

Titre original : 사이코지만 괜찮아
Genre/thème : psychologique, fantastique, comédie, drame, romance
Année de diffusion : 2020
Chaîne : tvN / Netflix
Nombre d’épisodes : 16
Acteurs principaux : Seo Ye-ji, Kim Soo-hyun, Oh Jung-se

It’s Okay to Not Be Okay (c’est long à écrire !) a connu un grand succès en Corée et à l’international. La traduction littérale donne quelque chose comme : Psycho mais ça va, qui donne un éclairage légèrement différent au titre.

Régulièrement mentionné dans les listes des meilleurs dramas (le New York Times l’a inclus dans sa liste des meilleures émissions internationales de 2020, oui, tout de même), il aura fallu un peu de temps pour que « IOTNBO » éveille ma curiosité, et encore un peu plus que je l’assouvisse. Et maintenant que c’est fait, je ne regrette pas, on a effectivement là un drama qui réunit tous les ingrédients du succès.

Ah oui ? Et quels sont-ils ?

Me demandez-vous en chœur, vos petits yeux brillants de curiosité (et du reflet de l’écran). Alors, chers lecteurs et lectrices, les voici.

Commençons par l’histoire

Ko Moon-young est une jeune femme autrice de contes pour enfants, qui rencontre un très grand succès. D’un caractère plutôt revêche, insensible aux sentiments des autres, et même aux siens, elle est farouchement solitaire, indépendante et n’a pas sa langue dans sa poche, quitte à se faire des ennemis. Née dans une famille aisée, sa mère était elle-aussi une autrice reconnue de mystérieux romans policiers, mais a disparu lorsque Moon-young était petite. Quant à son père, avec lequel elle n’a plus de contact, il est mal en point, et sera hospitalisé suite à une grave maladie dans un établissement de santé portant le doux nom de « Hôpital psychiatrique OK ».

Le crossover improbable

Cet hôpital, qui soigne des patients atteints de diverses pathologies (alcoolisme, démence, troubles de la personnalité…), est dirigé par un homme aux méthodes peu conventionnelles, mais empreintes de douceur et d’empathie, et qui s’avèrent majoritairement efficaces. Son équipe de médecins et d’aides soignant.e.s, chapeautée par l’infirmière en chef Park Haeng-ja, le seconde dans cette tâche en apportant soin et écoute aux malades. Et l’un des membres de cette équipe est Moon Gang-tae, un jeune homme doux aux yeux de biche, sensible et prévenant. En-dehors de son travail, il prend soin de son grand frère autiste, Moon Sang-tae.

Leur relation est extrêmement fusionnelle, d’autant qu’ils n’ont pas d’autre famille, leur mère ayant été assassinée lorsqu’ils étaient enfants. Cet événement sera largement traumatique, le drame ayant eu lieu sous les yeux de Sang-tae. Il en gardera une peur phobique pour les papillons, l’assassin de leur mère portant une broche en forme de cet insecte lors du crime, et ayant juré de le tuer s’il parlait. Il en fait des cauchemars chaque printemps, la peur d’être tué par le papillon chevillée au corps. D’ailleurs, et je ne sais pas s’il y a un rapport, mais j’ai lu que le papillon était un symbole récent représentant l’autisme.

Sang-tae possède un talent inné pour le dessin, la peinture, l’illustration sous toutes ses formes, et est un fan inconditionnel de Ko Moon-young dont il possède tous les livres. Son rêve est de rencontrer son idole. Moon Gang-tae, quant à lui, a rencontré la jeune femme à une reprise, et a pu observer son caractère irrationnel, voire même violent, et ne la porte pas spécialement dans son cœur. Il sera néanmoins obligé de la côtoyer lorsque le père malade de la jeune femme sera admis à l’hôpital…

Promis, j’arrête

D’autant plus que la jeune femme a jeté son dévolu sur Moon Gang-tae, et n’hésite pas à lui faire un rentre-dedans plutôt bourrin pour arriver à ses fins. Elle, qui déteste les gens, ira même jusqu’à animer des ateliers de littérature au sein de l’hôpital pour se rapprocher de l’aide-soignant. Est-ce de l’amour ? Non, la jeune femme est hermétique aux sentiments. Plutôt un attrait pour les belles choses (en gros, il ferait joli sur son étagère)(une grande étagère, je vous l’accorde). Mais les manœuvres de Ko Moon-young restent sans succès : pour le jeune homme, seul son grand frère importe. Il n’a ni le temps, ni l’envie de se lancer dans une histoire, surtout avec une personne aussi froide et insensible.

Pourtant, lorsque Ko Moon-young sera approchée par l’une des résidentes de l’hôpital atteinte de troubles de la personnalité et se prétendant sa mère, Moon Gang-tae sera troublé en voyant la détresse de la jeune femme. En effet, Moon-young, dont l’enfance a semblé difficile, ne sait pas si sa mère disparue est morte. Et si elle refaisait surface un jour ? Serait-ce vraiment une bonne nouvelle ? Pas si sûr…

Zou, le petit trombinoscope pour visualiser tout ce beau monde :

Voilà, maintenant que vous connaissez l’histoire, et les personnages principaux, je vous propose de passer en revue certains des éléments qui, pour moi, assurent le succès de It’s Okay to Not Be Okay.

On éteint les lumières, j’allume le rétroprojecteur, et c’est le début du PowerPoint.

Slide 1 : L’ambiance

Ce drama fait fort en matière d’ambiance, de lumières, ou encore de décors. Nous plongeons dans un univers qui est un mélange de Tim Burton et d’Hotel del Luna (drama sorti en 2019), une sorte de gothique raffiné. Cela m’a particulièrement évoqué « Les Noces Funèbres », de Tim Burton, en matière d’éclairage, et les scènes un peu mystérieuses d’Hotel del Luna.

L’influence de Burton se fait aussi clairement sentir dans les illustrations des livres de Ko Moon-young, ainsi que dans les passages animés (car chaque épisode relate un conte, et est souvent illustré par des séquences d’animation). J’ai pensé en particulier à « Vincent » (dites-moi que je ne suis pas la seule à avoir été traumatisée par ce court-métrage !!).

Les lumières froides sont réservées à l’univers un peu macabre de Ko Moon-young, tandis que les deux frères ont un traitement plus chaleureux et coloré.

L’éclairage soutient l’histoire, et au fur et à mesure que les deux univers se croisent, même le manoir lugubre dans lequel vit Ko Moon-young laissera entrer un peu de lumière…

Slide 2 : Les costumes et la mode

Bon, je dis les costumes, mais je devrais dire les tenues haute couture luxueuses et glamour de Ko Moon-young (qui n’ont rien à envier à la garde-robe déjà impressionnante de Man-wol, l’héroïne d’Hotel del Luna, ou de Hong Hae-in, de Queen of Tears) !

Les tenues portées par l’actrice Seo Ye-ji sont une véritable vitrine de la haute couture, la maroquinerie et la joaillerie haut de gamme. On retrouve des marques de luxe internationales connues (Dior, Givenchy, Jimmy Choo, Burberry, Alexander McQueen, Dolce & Gabbana, Kenzo, Miu Miu… la liste est longue !), mais aussi des designers coréens, auxquels la série a donné un coup de projecteur supplémentaire, comme Minju Kim, Playnomore, Honghol, Eenk, ou encore SuByul.

Ce défilé de tenues, soigneusement choisies, accessoirisées avec goût et parfois audace, est effectivement très plaisant à voir. Et on retrouve pléthore d’articles et de vidéos sur internet qui décryptent le style élégant de Ko Moon-young, afin de le copier (ou plutôt de s’en inspirer, car il faut être millionnaire pour le copier à l’identique !).

Slide 3 : Les thématiques et les personnages

Rien que le titre annonce le thème : c’est ok de ne pas l’être. Dans une société ultra compétitive, il n’est pas anodin d’assumer son mal-être ou sa différence. En choisissant d’avoir un des personnages principaux atteint d’un trouble du spectre autistique, les scénaristes introduisent dès le départ un personnage « différent », qui est un des héros de l’histoire. Bravo d’ailleurs au comédien Oh Jung-se (que j’ai vu récemment dans Mr Plankton, un tout autre genre !), qui réussit ce tour de force d’incarner une personne autiste tout en justesse. Tranchant, drôle, essayant de s’émanciper d’une situation qu’il ne contrôle pas totalement, fasciné par les dinosaures et les livres de Ko Moon-young, Moon Sang-tae est un personnage résolument attachant. Hanté par le meurtre de sa mère, traumatisé par le fameux papillon, il est la deuxième victime du meurtrier, endurant les séquelles de ce drame.

Et finalement, en plaçant la majorité de l’action dans un hôpital psychiatrique peuplé de personnages « anormaux », est-ce que ça ne renverse par la norme justement ? Finalement, la plupart des personnages traînent avec eux leurs pathologies, plus ou moins lourdes, et même Ko Moon-young, qui ne ressent plus rien, ou Moon Gang-tae, au sourire figé et aux yeux vides, et qui pourtant ne sont pas hospitalisés, souffrent de sérieux troubles.

Ce que cette histoire va nous raconter, c’est que ce n’est effectivement pas un problème de ne pas aller bien. Autant l’accepter, et essayer de comprendre. Stress post traumatique de ce vétéran de guerre, culpabilité d’enfant jamais résolue, refus de la mort de sa fille par cette mère, dépression, les personnages de It’s Okay to Not Be Okay représentent un panorama de problématiques liées à la santé mentale, que l’entraide et la compréhension aideront à résoudre, ou du moins à traiter et accompagner. It’s Okay to Not Be Okay, c’est avant tout une histoire de guérisons.

Slide 4 : Du suspense, des larmes, du rire

Ce drama nous embarque dans une histoire assez captivante, qui progresse sur plusieurs niveaux. Outre les histoires personnelles des différents personnages, un mystère plane sur la survie ou non de la mère de Ko Moon-young, et sur l’identité du fameux papillon qui a assassiné la mère des deux jeunes hommes. Une sorte d’enquête se met en place, avec ses révélations, et surtout, son suspense. Les flashbacks dévoilant le passé de nos personnages entretiennent également une certaine tension, à mesure qu’ils lèvent le voile sur leur enfance.

Mais comme tout bon drama qui se respecte, nous avons également droit à des moments comiques pour alléger tout ça. Je suis toujours impressionnée par la capacité des dramas (mais aussi des films) coréens à réussir à insuffler de l’humour ou de l’ironie au beau milieu de scènes super dramatiques ! Ici, l’humour passe par quelques jolies trouvailles visuelles, mais surtout par les personnages, par le comique de caractère. Entre Ko Moon-young qui ne mâche pas ses mots et fonce en renversant tout sur son passage, et Moon Sang-tae qui s’exprime sans filtre, faisant face à un Moon Gang-tae qui, au contraire, réfrène ses émotions et ses paroles, ça ne peut que créer des situations absurdes et décalées. Les personnages secondaires sont aussi là pour créer du comique, et l’éditeur de Ko Moon-young, souvent complètement dépassé par son autrice, en est un bel exemple.

Slide 5 : Et pour finir, les interprètes

Seo Ye-ji, Oh Jung-se et Kim Soo-hyun

Cette série met en vedette trois comédiens chevronnés. Dans le rôle de Moon Gang-tae, Kim Soo-hyun, qui signait avec It’s Ok To Not Be Ok son grand retour sur les plateaux de tournage après son service militaire. Star du petit écran depuis les années 2010, il fait partie aujourd’hui des acteurs sud-coréens les mieux payés. Tutututut, je reprends, il EST l’acteur le mieux payé ! Ah non, attendez, tutututut, je rereprends : il ETAIT l’acteur le mieux payé début 2025, mais est passé en deuxième place derrière Lee Jung-jae, la star de Squid Game. Bon, avec des cachets pouvant aller de 231 250 à 423 000 $ par épisode de drama, ça reste tout de même confortable. Et la controverse dont il était le centre aura entaché son image, mais pas tellement son salaire finalement. Kim Soo-hyun a également ouvert une agence d’acteurs en 2019 avec deux partenaires, et cette agence, GoldMedalist, était coproductrice de It’s Ok To Not Be Ok. Donc oui, je pense qu’il se met bien, Kim Soo-hyun.

Dans It’s Ok To Not Be Ok (oui, c’est toujours aussi long à écrire), il incarne un jeune homme sensible, dévoué à son frère, mais aussi terriblement frustré (cette facette m’a fait penser à son personnage dans Queen of Tears). Son jeu est juste, même si je ne peux pas m’empêcher de trouver qu’il fait un peu pâle figure à côté de ses deux co-stars…

Je ne connaissais pas du tout l’actrice Seo Ye-ji, et j’ai été bluffée. Bon, elle est très belle, mais comme tous les acteurs et actrices de drama finalement, donc ce qui m’a marquée surtout, c’est sa voix. Elle a une voix grave, assez singulière, et qui tranche avec les voix souvent aiguës des comédiennes de drama. Son personnage est flamboyant, et la met en valeur. Autrice de livres pour enfants vraiment très sombres, dotée d’une personnalité atypique, fonceuse, rentre-dedans, décidée et indépendante, elle s’éloigne des clichés des héroïnes de comédie romantique. Réussissant à laisser transparaître ses failles tout en subtilité, sa partition lui permet aussi d’avoir des moments comiques tout aussi réussis. Bref, j’ai été conquise.

Je suis allée fureter un peu du côté de sa bio, et quelle n’a pas été ma joie de voir qu’elle était en couple avec l’acteur Kim Jung-hyun, que j’ai tant aimé dans Crash Landing on You, Mister Queen, et plus récemment dans Iron Family ! Je me suis dit que c’était le couple parfait, il est très drôle, elle est très drôle, ils jouent bien, c’est trop mignon hihihi, je ricanais d’aise bien confortablement avachie sur mon canapé. Mais la désillusion m’attendait au coin du plaid : l’article que je lisais datait de 2018, et entretemps, il s’était passé bien des choses. Déjà, ils ne sont plus ensemble depuis belle lurette, et en bref, il y a eu un gros scandale en 2021 les concernant. Elle a été accusée de l’avoir manipulé, d’avoir exigé, par jalousie, qu’il fasse retirer des scènes romantiques du drama dans lequel il tournait, et qu’il n’approche aucune de ses collègues durant le tournage. Elle aurait donc conduit Kim Jung-hyun à saboter le tournage du drama, ainsi que sa promotion, et donc son succès. Lui a affirmé avoir des problèmes de santé à cette époque, mais à vrai dire, je ne connais pas vraiment les tenants et les aboutissants, je sais juste qu’il a disparu des radars pendant un certain temps avant de réapparaître justement dans Iron Family. En ce qui concerne Seo Ye-ji, elle a été dans la foulée accusée de harcèlement scolaire et de racket, d’avoir menti à propos de son cursus scolaire, et de maltraiter les gens qui travaillent avec elle. Elle a nié, mais a été virée du drama dans lequel elle était en train de tourner, et a aussi disparu des radars jusqu’à maintenant, où elle va possiblement faire son grand retour dans un drama intitulé Forest of Humans, un thriller dramatique inspiré d’un webtoon.

Voilà l’histoire en gros, j’avoue que ça n’est pas l’aspect qui m’intéresse le plus, en revanche, je suis toujours assez surprise de voir l’ampleur que prennent les scandales touchant les stars sud-coréennes. Lettres d’excuses manuscrites, excuses publiques, retrait pendant plusieurs années, les histoires privées rendues publiques leur collent à la peau malgré tout et peuvent vraiment détruire leurs carrières (si ce n’est leur vie, quand on pense aux acteurs et actrices qui se suicident suite à un scandale…).

Et pour terminer sur ce trio de comédien, je mentionne à nouveau l’acteur Oh Jung-se, tant sa performance est incroyable. J’ai mis un peu de temps à le reconnaître d’ailleurs, et vraiment, je salue son travail sur It’s Ok To Not Be Ok. Son jeu est si juste, il réussit à faire vivre ce personnage autiste en toute sincérité, sans aucun faux pas, ni moquerie, ni mauvais goût. Une vraie belle incarnation, préparée avec soin en faisant de nombreuses recherches et en étudiant le comportement de personnes autistes afin de se préparer au mieux pour son rôle. Et de son côté, pas de scandale à priori, il est mariée depuis 2006 à une ancienne camarade de classe et a deux enfants. La seule chose qui sort un peu de l’ordinaire le concernant est qu’il est atteint de prosopagnosie, un trouble de la reconnaissance des visages, rendant difficile ou impossible l’identification des visages humains. Ça m’a interpelée, déjà parce que ça ne doit pas être facile à vivre au quotidien, et ensuite, parce que c’est un élément utilisé dans le drama que je suis justement en train de regarder. Quelle coïncidence ! Je me disais que c’était assez farfelu comme ressort scénaristique, et bam, voilà, la réalité qui me revient en pleine face (dont les traits ne seraient même pas distingués par Oh Jung-se) ! Ça reste un trouble assez rare néanmoins, heureusement d’ailleurs, parce que ça doit être vraiment handicapant.

Slide 6 : Fin du PowerPoint

Merci à tous de l’avoir suivi. Oui, on peut rallumer les lumières. J’éteins le rétroprojecteur, ça fait un boucan d’enfer cette machine.

Ah, ça fait du bien quand ça s’arrête. Des questions ?

Oui, on regarde ou pas ?

Franchement, oui. Alors je ne vous cache pas qu’il y a quand même quelques longueurs en milieu de série, le jeu du chat et de la souris du couple principal traîne un petit peu inutilement à mon goût, et parfois, le jeu peut sembler un peu appuyé. Mais en fait, c’est le type de jeu d’un drama coréen, donc moi, ça ne me choque pas plus que ça.

Score de 6 clichés au bingo des dramas, mais petites précisions :

  • le triangle amoureux n’est pas trop lourdingue, donc ça va
  • et en matière de placement de produits, il s’agit de la chaîne de pizza Alvolo qui est vraiment mise en avant (c’est même un décor récurrent, difficile de passer à côté)

Vous en voyez d’autres que j’aurais pu oublier ?

Malgré ces quelques cliché, et si vous êtes novice en kdrama, je pense tout de même que vous vous laisserez embarquer dans cette histoire qui est bien ficelée et réserve de beaux moments, tant comiques que dramatiques. Qui raconte aussi comment l’on peut détester par moments ceux qu’on aime le plus, et les excuses, parfois inconscientes, que l’on peut trouver pour rester dans une situation, qui bien qu’inconfortable, a le mérite d’être moins effrayante que l’inconnu. Je trouve aussi cette série intéressante à regarder ne serait-ce que pour le jeu des comédiens, et pour la manière dont sont traités l’autisme, et les troubles psychiques. Le scénario utilise aussi les contes comme fil rouge tout au long de la série, et leur intégration dans l’histoire est plutôt bien faite.

Et si vous devenez vraiment fan, ne manquez pas les petits bonus à la fin des épisodes 1, 3, 6 et 16, et rendez-vous sur ce site pour localiser les lieux de tournage à visiter lors de votre prochain voyage en Corée du sud. Sachez également qu’il existe une collection de produits dérivés, qu’il est possible d’acheter les livres de Ko Moon-young dans la vraie vie, et de trouver des « dupe » des vêtements et des bijoux de l’héroïne, pour vivre, vous aussi, votre vie flamboyante à moindre coût !

logo du site quoicoree.com, un site sur la Corée du Sud

4 réponses à « It’s Okay to Not Be Okay, un succès mérité »

  1. Avatar de happilywitch5d17a851bc
    happilywitch5d17a851bc

    Enfin une ondée bienfaisante sur les terres asséchée. Merci Quoi Corée Envoyé depuis mon appareil Galaxy

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    1. Malgré la canicule, ce ne sont pas des gouttes de sueur qui perlent au coin de mes yeux, mais bien des larmes de reconnaissance ! Héhé 😁
      Mais que vois-je : « envoyé depuis mon appareil Galaxy » !! Mais c’est un Samsung !! Comme dans les dramas ! Quand la réalité dépasse la fiction ! 😱

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  2. Ce drama a signé mon entrée dans le mondé coréen dès sa sortie sur Netflix (seulement en 2020 ?)…

    Bel article et hommage à ce drama qui reste dans mon top 10… et pourtant, on peut dire que depuis, j’en ai vu des 100aines… Au moins (dirait mon mari !) !

    Aimé par 1 personne

    1. Quelle belle introduction à l’univers des dramas ! On pouvait difficilement faire mieux 🙂

      Merci pour votre commentaire, je suis ravie de voir que mon coup de foudre pour It’s Okay to Not Be Okay est partagé ❤ Est-ce que vous pourriez me dire quels sont les autres dramas de votre top 10 ?
      (Et passez le bonjour à votre mari, on attend aussi son top 10 avec impatience ! 😁)

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